Chaque jour une chanson que je partage avec vous amis lecteurs. Une chanson en fonction de mon humeur ou de l'actualité du jour. Une chanson pour danser, pleurer ou tout péter. Une chanson pour aider à affronter la journée.
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vendredi 4 juin 2010
Get A Haircut and A Real Job / George Thorogood
Hier, il s'est passé quelque chose d'extraordinaire.
Non, je n'ai pas eu un real job, malgré mon désir ardent de découvrir un autre monde du travail.
Hier je suis allé chez le coiffeur (la coiffeuse en l'occurrence) pour la première fois depuis le 19 novembre 2002.
Faut dire qu'une simple tondeuse suffisait pour ma coupe d'une simplicité GI-esque.
Et justement, je commençais à en avoir un petit peu ras-le-chignon d'avoir la tête à un soldat du corps des marines, j'étais fatigué qu'on me demande comment se passait ma chimiothérapie, donc, hop, je suis allé chez la coiffeuse.
Nouvelle coupe, nouvelle vie me disais-je plein d'entrain en entrant dans son salon.
Là, je redécouvre tel un labrador joyeux le bonheur de se faire shampouiner la tête.
Oui, c'est bon de se faire shampouiner délicatement la tête.
Qu'elle est gentille cette coiffeuse me disais-je en mon faible for intérieur.
J'avoue que j'ai quand même un poil tiqué quand elle m'a dit "j'ai l'impression de coiffer votre mère" (parce que oui, cette coiffeuse que je croyais sympathique est la coiffeuse de ma mère à moi et nous sommes plutôt ressemblants capillairement, ceci expliquant cela.)
"Ma coiffeuse me compare à ma mère, docteur", me voyais-je déjà sur le divan de mon psy à moi.
Puis vint la farandole des ciseaux, tondeuses et autres instruments destinés, j'en étais sûr, à me faire sortir de là comme Will Smith ou George Clooney mais sans le Brushing.
J'ai appris plein de choses intéressantes sur la coiffure, comme chez tous les coiffeurs, j'ai regardé les super beaux tatouages de la coiffeuse d'à-côté, bref, j'ai passé un super moment.
Et puis elle a amené la glace.
Je ne poserai pas de photographie ici afin que ma dignité intacte ne soit pas entamée, mais je crois que je suis sorti avec vraiment la même tête que Ribery...
jeudi 9 avril 2009
Bad to the Bones / George Thorogood
Aujourd'hui je reste dans le son qui sent des aisselles.
Un gros blues-rock qui tape comme une canette en plein soleil.
Un Riff qui découpe comme une lame de rasoir, avec des vocalises de brontosaure.
Une chanson a écouter les fenêtres de la voiture grande ouverte, les cheveux au vent.
Des lunetts de soleil sur le nez, des santiags au pied (et un fusil à pompe dans la poche, comme Schwarzy dans le génialissimement génialesque Terminator 2)
C'est le genre de musique qui me donnerait envie de devenir motard, avec un aigle tatoué sur l'épaule (groooarrr) et un perfecto vissé sur le dos.
Une chanson qui envoie sur les autoroutes, vers la liberté et l'aventure (en bande, comme les loups. Nous, les Hells Moyens, nous sommes des loups. Des prédateurs. Des égorgeurs d'enfants et rôteurs de bière au nez des grand-mères!!)
Mais comme j'ai déjà le vertige quand je monte sur un escabal remettre une ampoule ou que je me sens déjà grisé par le frisson de la vitesse quand je dépasse les 40 km/h en vélo, je pense que cette vie de bohème mâcheur de canette n'est pas faite pour moi.
En tout cas, ça ne m'empèche pas d'en écouter la musique.
Hell Moyen Yeah!
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