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jeudi 25 avril 2013

Spirit in the Sky / Norman Breenbaum




Curiosity est un petit robot, un peu comme Wall-E de Pixar, envoyé tout là-haut sur Mars pour étudier la planète rouge.

Il prend des échantillons, bavarde un peu avec la planète Terre, analyse le sol et l'atmosphère et surtout, il a été créé par des ingénieurs de la NASA.

Des gens très intelligents, sur-diplômés et très sérieux qui étudient chaque parcelle de l'Univers, essayent de comprendre ce qu'il y a eu quelques centièmes de seconde après le Big Bang et qui écoutent les étoiles.
Et envoient Curiosity tout seul sur une planète de sable rouge.

Il aime son travail, mais s'ennuie parfois dans les nuits polaires Martiennes, il regarde vers la Terre en se disant que ses labos et ses ingénieurs lui manquent et qu'il aimerait bien parler un peu plus souvent avec le contrôle au sol pour raconter toutes ses aventures.

Mais l'histoire de Curiosity est une jolie histoire.
C'est l'histoire de la découverte, de la science et de jolies photos, envoyées régulièrement à l'Agence Spatiale Américaine.

Une histoire qui commence comme des contes de fées.
Au bout du feu, de l'acier, du silicium et de 800 millions de dollars pour le faire naître, Curiosity a parcouru 55758 millions de kilomètres en deux ans de voyage dans l'espace.
Et une fois arrivé là-bas, il a encore fait 10 kilomètres sur le sable rouge, au milieu des tempêtes et ensuite, puisqu'il est certainement un petit farceur, il a dessiné une bite sur Mars.















(Curiosity a certainement bossé pour le C.I.A.a . Comme Moyen.)

























Cette chanson, Spirit in the Sky, a été emmenée en vol vers la Lune et diffusée dans l'espace par l'équipage d'Apollo 13.
Ce qui prouve que les Astronautes (et toute la NASA en général) ont vraiment bon goût...

vendredi 30 septembre 2011

Pheromone / Prince





Il m'arrive de me poser parfois des questions relativement simples mais dont je ne trouve que rarement la réponse au gré de mes journées folles.

Par exemple, pourquoi la caissière de mon Franprix d'à côté me dit-elle "Bonjour Madame" quand je passe à la caisse?

Bon, je sais que je dois lutter pendant trois semaines pour avoir une barbe de trois jours, que j'ai parfois des esquisses de démonstration lacrymale incontrôlée devant certains films (mais ça ne se voit pas lorsque j'achète mon saucisson et une part de brie au Franprix, quand même) que je bois du thé quand je n'ai plus de bière (ce qui pourrait en revanche facilement se deviner à la caisse du Franprix si j'achetais 35 boîtes de thé et trois panach' en bouteille) et qu'il m'arrive d'écouter distraitement (et par erreur) Chérie FM au travail (ce qui, là aussi, pourrait se trahir sottement à la caisse du Franprix si je me mettais à fredonner du Didier Barbelivien comme ça, au débotté.) mais quand même, je suis en droit de me demander si ce "Bonjour Madame" était:

1: Une méprise affreuse de la gentille caissière du Franprix, automatisée par son poste et tellement habituée à voir des clientes féminines que son cerveau, autrefois alerte et plein d'incertitudes, de curiosité naturelle et de fraîcheur, n'est plus conditionné que pour dire "Bonjour Madame" en toutes circonstances (imaginez la pauvre, après ses 10h30 passées à la caisse du Franprix de ma rue -qui n'est pas la supérette la plus sexy du monde, sur une échelle de 1 à 10 en sexitude de supérette, je lui mettrais Mimi Mathy comme note- elle se fait arrêter au volant de son auto pour une légère infraction au code de la route, pressée qu'elle était de rejoindre son foyer et profiter d'un bonheur familial mérité et alors que Jean-Michel, motard de la police nationale lui demande les papiers du véhicule et son permis avec ses belles lunettes de soleil, sa moustache et ses bottes, elle, tremblante et légèrement attristée par ce coup du sort, lui répond "Bonjour Madame".
Comme Jean-Michel est un con, il va le prendre mal et notre pauvre caissière, rouage usé du système commercial mondialiste, passera une soirée de merde.
(remarquez que moi aussi, fier dans mes baskets et mon T-Shirt à tête de mort -qui porte une couronne, la tête de mort.- j'aurais pu m'offusquer et puis ben non, j'ai été classe et compréhensif, j'ai ri en la maudissant intérieurement.)

2: Cette pouffe de feignasse inculte a réellement pensé que c'était une madame qui passait à sa caisse en entendant ma voix (parce que cette morue n'a pas daigné lever les yeux pour admirer la clientèle sociable et nonchalante qui arrivait pour égayer sa journée et la surtout rendre enfin utile à la société au milieu de ses 24 pauses quotidiennes) alors que quand même, je me fais suer pendant trois semaines (dont 10 jours à jouer les baroudeurs tatoués au milieu de régions hostiles, peuplées de trappeurs en kilt, froides et sauvages à effrayer un ours) pour avoir une barbe de trois jours, c'est pas pour se faire taxer de "madame" quand je passe à la caisse du Franprix. Faudrait voir à quand même pas déconner.
J'ai ri jaune pour montrer mon mécontentement et j'ai fais des phrases avec les mots "corner" "hors jeu" "couille" et "tête de delco" pour montrer qu'il ne pouvait pas y avoir confusion.

Je suis rentré chez moi en me demandant pourquoi la caissière du Franprix d'à côté m'avait dit "Bonjour Madame"

Je me posais encore la question pendant que je rangeais ma crème pour la peau et mon gel douche hypoallergénique, que je me faisait un thé avant de regarder un épisode de Grey's Anatomy.

Il faudrait peut-être que je songe à me raser...




































J'en profite que là, à droite, vous avez un petit pouce bleu qui est apparu astucieusement sur ma page.
Il s'agit d'un lien qui vous permet de voter pour moi pour les trophées de Golden Globs Awards.




lundi 30 mars 2009

Heartbreak Hotel / Elvis Presley





Franchement, je comprends pas...

Il grattouille mollement deux cordes à sa guitare, il se secoue le dutre toutes les trois strophes, bouge les jambes comme un épileptique et pouf, explosions de foufounes, râââles, cris, évanouissements, demandes en mariage, jeter de soutifs et tout et tout...

Ah on me chuchote qu'il a révolutionné la musique en chantant des chansons de blacks et en créant le Rock'n Roll...

Ah on me dit qu'il avait la classe.

Ah, et qu'il est sexy aussi...

Ah, on me confirme qu'on l'appelait le King.

Ah ben bon alors...

jeudi 12 mars 2009

Music is my Hot Hot sex / CSS (Cansei de Ser Sexy)



Une petite chanson rigolote qui met de bonne humeur le matin.

Une petite mélodie rythmée pour marcher joyeusement vers la soirée de l'année ou le boulot.

Et voir un groupe de filles avec la pêche et qui se prennent pas pour des chagasses en chaleur ou des rentre-dedans, ben ça fait plaisir.

Et puis ça fait pas de mal d'écouter parfois des chansons joyeuses, vachement efficaces pour passer la journée sans encombres.

Un efferalgant mixé aux antidépresseurs.

Avec son beat qui tonne et son bontempi enroué, moi je suis cette musique jusqu'au bout de la nuit.

Et puis ça prouve que le Brésil, c'est pas que des maracas, de la Samba et de la Capoeira.

Hop, sortez les cocktails, les lunettes de soleil et les pas de danse, l'été arrive!

jeudi 4 décembre 2008

Down in Mexico / The Coasters



(Non, messieurs, on reste concentré sur la chanson s'il vous plait!!)

Bon, on le sait Quentin Tarantino est doué, il est mégalo, c'est le nouveau scorsese, blablabla.

Mais en fait, Tarantino, aussi doué soit-il derrière une caméra, aurait sans doute été un meilleur DJ que réalisateur.

Il a le don pour dénicher des trucs improbables de derrière les fagots et les transformer instantanément en tubes cultes.

(Messieurs, s'il vous plait, j'ai dis de rester concentré sur la chanson!)

Il transforme Misirlou de Dick Dale, une surf-song oubliée en hit interplénataire rien qu'en le plaçant sur le générique d'intro de Pulp Fiction, sans aucune image.

En illustrant le combat homérique entre la mariée et les crazy 88 avec la version gipsy de Don't let me be misunderstood, il relance une mode (oui, écouter de la disco dans une caravane, c'est cool...).

Non, décidément je pense qu'il serait encore plus doué derrière des platines que derrière une caméra.

Et là, les Coasters, un groupe improbable(Rockabilly? mambo?), peuvent remercier le fou filmant puisque leur titre Down in Mexico devient le truc le plus "in" du moment grâce à une seule scène du film (bon la scène la plus macho, c'est vrai).
Le You can leave your hat on est renvoyé dans les limbes, 9semaines 1/2 est atomisé, messieurs, voici la nouvelle référence de la scène pour mec poilu.
(Oui, messieurs, je parle bien de la chanson des coasters, pas du clip...)

Ouais, Tarantino aurait fait un excellent DJ.
Mais quand on voit ses film et qu'on entend ses B.O., on se dit qu'on a de la chance qu'il ai voulu faire réalisateur...

Qu'est-ce qu'il est doué, ce con...

(Messieurs, vous vous souvenez que je parlais d'une chanson??)

mercredi 30 juillet 2008

Head / Prince

PRINCE-HEAD live - O{ >


Alors bande de petits pervers, comme le terme Porno de mon post précédent vous a émoustillé les sens et excité votre fierté (en gros, ça vous a collé la gaule), voici de quoi satisfaire vos
(h)ardeurs.
Alors voilà Head. Un monstre Funk de Dieu (bis, égalité avec Springsteen) Prince.
Cette chanson raconte ni plus ni moins qu'une fellation extra-conjugale (en gros, hein, c'est pas aussi rocambolesque que les feux de l'amour non, plus, hein, Prince, paf, il va tout droit et ne prend pas de chemins détournés. Prince EST le sexe).
Ah, vous vous sentez moites là aussi, hein?.
Mais une moiteur animale.
Une moiteur sauvage.
Une moiteur enragée.
Là, vous êtes une star du porno, une bête de sce(x)ne.
Avec Prince, j'abandonne ma voix de Bébé Phoque qui a mangé du Miel et je deviens un golgoth composé à 98% de testostérone (les 02% restant étant de l'alcool), un étalon impossible à dresser et impossible à repousser. (Oui, bon, enfin, j'essaye, on va dire que je deviens un Bébé Phoque qui a mangé du Nutella, c'est moins doux que le Miel) (Ou un bébé Phoque qui a Mangé 130 kilos de piments purs histoire que vous ayez une idée de ma tête de golgoth-sex-appeal-tombeur-grrrr à la testostérone...)
Bon, je vous laisse sur ces doux mots, Prince vous emmène au pays merveilleux du cul avec plus de classe que l'ile de la tentacule.
Grrr...

mardi 24 juin 2008

Hit the road Jack / Ray Charles




Allez, un petit classique pour se faire plaisir.
Ce que j'aime avec les chansons qu'on appelle bêtement "classique" c'est leur intemporalité.
Impossible de les dater vraiment (celle-ci date de 1961, ça calme) temps elles semblent modernes. Comme si on les avait écrites hier.
Sentez le groove, l'énergie, les cailloux dans la voix. C'est une chanson que je peux m'écouter en boucle.
Déjà parce qu'elle est courte (2min.20 en gros)
mais surtout parce que son rythme ne baisse jamais d'intensité et vous entraînre toujours de l'avant.
En plus la voix de la choriste principale (la deuxième en partant de la gauche parmis les quatres) est à tomber par terre, hyper sexy, déchainée.
On la sent à la fois hyper vénère après ray charles et pleine de désir pour lui.
C'est chaud, c'est violent, c'est désespéré, tout ça concentré en 2min.20.
La scène de ménage la plus classe de l'histoire (oubliez ces gros tourteaux (pas tourtereaux, non, non, bien tourteaux. le crabe, quoi) de Brad pitt et Angelina Jolie dans Mr et Mrs Smith, à côté ils font petits chanteurs de la chorale "J'aime la Joie" de notre-dame de merixelle qui découvrent qu'ils ont des boutons sur la gueule et des poils zarbis qui apparaissent dans des endroits que la décence interdit de mentionner...)
Ray Charles envoie tout bouler, ils met vos tympans au supplice.
Vous pensiez résister?
Lâchez-vous les enfants, sautez sur le dancefloor (ou dans le RER, ou dans la Rue ou sur grand-mère ou dans le bureau du patron) et déhanchez-vous, sortez votre groove, votre animalité, expulsez votre Mojo, devenez désirables, bon dieu, et suivez Jack sur la Route...
Et si dans 40 ans vos gosses se mettent à écouter ça, attention, ils s'appretent peut-être à faire quelque chose que vous n'avez pas légalement le droit de les imaginer faire.
Et si dans 40ans, un mec (à par prince, il est hors-concours, il est le sexe, point-barre) arrive à produire une tension aussi érotique dans une chanson qui souingue (swingue, pour les bilingues) (et pas la peine de refaire sexual healing, ça souingue pas, vous m'aurez pas) ben il aura sans doute suivi les leçons du génius...

vendredi 30 mai 2008

Gett Off de Prince. Album Diamonds and Pearls


Prince - Gett Off
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GETT OFF Prince and the New Power Generation (Album: Diamonds and Pearl)


Disons le tout net, Mozart, Beethoven et Elvis se sont réincarnés dans une seule et même personne. (avec un peu de Marc Dorcel)
Un génie musical, dont la carrière est quasiment parfaite (malgré quelques ratages spectaculaires, c'est vrai) et dont les tubes arrachent littéralement les oreilles et donnent un vrai sens au mot musique.
Gett off est moite. Lourd. Une percu engluante. Une guitare qui nous propulse dans la stratosphère (quel solo à la fin du morceau!!!) une voix au-delà du sexy... Bref la classe.
Ce mec est l'érotisme en musique. Du porno sonore.

Gett off ne dégage que du sexe. Bref les mecs, pas la peine de soulever des tonnes de fontes pour paraitre viril. Ce type efféminé vous met une branlée question testostérone. Rentrez chez vous pour vous épiler et vous raser sous les bras, ça sert à rien de sentir le chameau en rut pour faire croire que vous etes des hommes...

Ce qui est dément chez cet artiste, c'est sa capacité à se renouveler, à toucher des genres aussi disparates que la funk le rock, la soul, la pop, avec une aisance surnaturelle et une facilité d'extra-terrestre. Ce mec n'est pas humain, il est né sur une planête en forme de clé de sol. Dans ce morceau il n'hésite pas à rajouter des touches hip-hop avec des scratchs savemments dosés, il convoque le rock brutal avec sa guitare (inutile de préciser qu'il est un virtuose), met son public en transe avec des percussions à décrocher un chêne et rend le tout terriblement torride en y mélant sa voix.

Alors il y a comme ça des types touchés par la grâce. Des vrais purs génies. Prince en fait partie pour moi, tout comme chopin ou mozart.

Quand je me met à fredonner frêre jacques, mes plantes fanent.
En tapant avec une cuillère sur ma table, aucun ryhme cohérent n'en sort (je soupçonne même les cuillères de demander pardon à Stewie Wonder, le grand Dieu-Manitou de la rythmique...)
Voilà l'injustice totale.
Sous prétexte que ce nain de jardin d'1m55 (je mesure 1m63, donc on est pareils..) sais aligner à peu près correctement 2 ou 3 sons biscornus, le voilà aux bras de créatures de rêves toutes plus incroyables les unes que les autres...
Inutile de préciser que j'ai une voix de canard atteint de paralysie faciale...

Alors maintenant on se lache, on écoute, on devient moite, caliente, sueur...