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lundi 25 juin 2012

Secret / Orchestral Manoeuvres in the Dark





Ce qu'il y a de forcément bien dans la vie, ce sont ses mystères.

Et toutes les choses secrètes et étranges qui arrivent chaque jour.

Chaque jour, des codes sont décodés, des portes dérobées sont ouvertes, des indices apparaissent et d'autre disparaissent et des secrets sont dévoilés.

Mais le 16 juin dernier, on a battu un record. Un truc à intriguer Fox Mulder.

Le 16 juin dernier, sur la base aérienne de Vandenberg, en Californie, le X-37B, un avion militaire automatisé  top secret de l'US Air Force se posait après un vol orbital de 15 mois.

Hop, la vidéo très "X-Files" de l'atterrissage de l'engin:


15 mois que cette mini-navette spatiale robotisée de 10 mètres de long tournait autour de la Terre pour une mission classée secret-défense.

Selon certains spécialistes, cet engin avait pour mission d'espionner Tiangong, la station spatiale chinoise, de réparer des Satellites américain ou de saboter des satellites étranger, de photographier des installations militaires chinoises ou Nord-Coréennes, ou alors se résumait à un simple test d'endurance pour un engin visant à combler le vide laissé par la mise à la retraite de la navette spatiale.

Et ainsi, des prototypes top-secret continuent d'être envoyés dans les cieux, près de 65 ans après que Chuck Yeager ait franchi le mur du son à Edwards, en Californie, à bord du Bell X-1.

Et ainsi, l'espace reste l'ultime frontière, celle de l'exploration absolue, du mystère, de Star Trek et de l'inconnu.



Le X-37B est prévu pour re-décoller cet automne.

Quand je rentrerai à mon appartement la nuit, je regarderai quand même au-dessus de moi, histoire de m'assurer que je ne suis pas suivi depuis l'espace...






































Hop, un lien  pour les anglophones qui voudraient en savoir plus...

mardi 17 mai 2011

Boys Don't Cry / The Cure






Ce week-end je me sui surpris à pleurer comme un flan devant caro-magnonne et un épisode de Desperate Housewives.

Oui, Desperate Housewives, je sais, j'ai honte.

Bon, je pleurais dignement, le front fier et les larmes chaudes mais quand même, pour un garçon élevé à Terminator, les films de gangsters et la bière, je me dis que ça risque d'entacher un brin cette virilité dense qui se dégage naturellement de tout mon être.

Je me suis surpris moi-même, car il faut bien avouer que ça ne m'arrive pas souvent de pleurer comme ça comme une fiotte une personne sensible au coeur d'artichaut et à la sensibilité à fleur de peau.

Sauf dans quelques rares cas comme:

Regarder Marley et Moi dans un avion qui m'amène à New York avec ma meilleure amie.



Incompréhensible puisque que c'est un film avec un chien et que je préfère les chats.
Le film le plus mal vendu du monde puisque la bande-annonce nous le présente comme une comédie débile comme on en voit des kilotonnes chaque été et qu'en fait c'est bien plus que ça. C'est l'histoire d'une famille qui grandit autour d'un animal, c'est tout simple, souvent touchant, joli et le final me transforme en flaque.
Accessoirement, le film qui m'a donné envie d'avoir un chien alors que je préfère les chats.

Regarder le générique de Up des magiciens de Pixar.



Si vous ne pleurez pas, c'est que vous avez pleuré devant la rafle et donc il vous manque un gène: celui de la jugeotte.
(cette phrase est une réponse à Roselyne Bosch, la réalisatrice de ce navet avec Jean Reno et Mélanie Laurent -deux indices vivants sur la qualité du film- qui dans son insondable intelligence, avait dit à ceux qui n'avaient pas pleuré devant son film qu'il leur manquait le gène de la compassion, ce qui est d'un coup exquis, pétasse, quand on parle de la Shoah.)

Une Leçon de Piano.



Là, j'écoute et je ne dis rien. (si je sanglote.)

Invictus. (je vous invite à cordialement cliquer sur le lien et à chialer votre maman.)

Parce que c'est la vérité.
Un poème à permit à un petit homme de rester debout dans l'enfer de Robben Island pour devenir un des plus grands hommes de l'histoire.

Le géant de Fer.



Parce qu'un robot géant m'a appris qu'on pouvait devenir qui on choisissait d'être.
Je pleure particulièrement , mais là, c'est la fin, donc évitez de regarder si vous voulez garder la surprise.

Et je pleure devant un bon millier d'autres choses mais j'ai assez mis en l'air ma virilité chancelante pour aujourd'hui.

Alors je vous invite à vite regarder ce qui vous fait pleurer.

Parce que ça fait du bien.
















A Noter que j'en suis à 14.800 visites sur ce blog qui fait votre joie et bonheur tout au long de chaque semaine et que vous attendez avec l'impatience de l'enfant qui guette le Père Noël dans sa cheminée dès le 18 juillet, et que donc je ne suis pas loin des 15.000.

Alors pour fêter ça, la 15.000ème aura un bisou et le 15.000 rien du tout (et il peut s'estimer heureux de ne pas se prendre une paire de claque pour avoir chipé la place à ma 15.000ème.)

Et le droit de poster SA chanson du jour, mais on en reparlera...

jeudi 7 avril 2011

Road to Nowhere / Talking heads



Je suis le chemin et je suis l'horizon.

Je suis le chemin et je suis l'horizon me disais-je (modestement) ce matin devant ma glace en ne me rasant pas (comme tous les jours).

Et même si je me lève semblable chaque jour, que je ris à des comptoirs et que je pleure devant la mer, même si parfois je trébuche et d'autre fois je domine la vallée de la mort, que je mange du saucisson au soleil à côté d'un canal (pour me rapprocher de l'eau) , même si je dois visiter des commissariats (un jour, je vous parlerai de ma visite du CIA d'Epinal, vous allez être bluffés, 24h chrono et Mission : Impossible ne sont que des amateurs à côté de l'agent Moyen.) et vivre des défaites, même si je lutte contre le froid et le vent, que j'espère encore la mer, que je débouche des bouteilles, prends des photos et chante faux, ben je ne me souviens plus d'où je suis parti.

Sans doute de trop loin.
Sans doute de moins bien.

Mais peut importe le seuil, me disais-je ce matin.

Parce que je suis le chemin.

Et je suis l'horizon.

dimanche 18 avril 2010

Things can only get better / Howard Jones (feat. Ringo Starr)



Alors oui, j'ai vécu une sale semaine.

Je suis triste et je pense très fort à la Marraine et à la Mémé.
Et je compterai les croûtons toute ma vie, parce que c'est une belle histoire.
Une histoire que j'ai entendu des centaines de fois, mais évidemment, j'aurai voulu l'entendre une fois de plus.

Je suis suspendu à un nuage à la con qui pourrait me gâcher les plus belles vacances de ma vie.

Bref, ça pourrait (difficilement) être pire.

Et bien oui, effectivement.
Ca pourrait pas être pire.

Alors j'en profite.

Parce que maintenant, ça ne peut qu'aller en s'améliorant.

Je sais que vent va se lever, et samedi matin, je décollerai vers les USA.

J'ai des souvenirs de la Marraine plein la tête et je sais que je vivrai avec ça, et ça, c'est chouette.

Et en ce dimanche sous le soleil, j'ouvre mes fenêtres, je pousse le volume à 11 et je chante que le meilleur est à venir.

Parce que ce matin, je sais que c'est vrai.