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mardi 5 juin 2012

Man that you fear / Marilyn Manson





Qu'y-a-t-il de pire?

Qu'un Canadien plus étanche décide de démembrer son amant et de l'envoyer par petits bouts, façon puzzle, aux 4 coins de Montréal sous enveloppe scellée ou que la vidéo qu'il a fait de son épouvantable crime soit encore disponible sur internet et que des tas de charognards curieux malsains cliquent à tout va pour la regarder?

Parce que pour moi, le gugusse qui cherche absolument à voir une vidéo de ce genre pour assouvir une pulsion voyeuriste morbide et déglinguée, il a autant de question à se poser sur sa santé mentale que le criminel lui-même.

Et je vois déjà d'ici les biens-pensants, politiques et sociologues de tous poils nous rabâcher une nouvelle fois sur les déclencheurs de ce genre de gestes et accuser encore le cinéma d'horreur ou les jeux vidéos.
(je ne joue pas aux jeux vidéos, je n'y comprends rien à part Mario le plombier, mais je dois avouer qu'un média qui fait plus de recette que le cinéma ne doit pas non plus être totalement débile.)

Hommes de petite foi leur dirai-je, position bien paresseuse et surtout bien confortable et certainement fausse que vous avez là.

Car le problème, selon moi, n'est pas dans l'existence de FICTIONS (et j'insiste légèrement sur ce mot car vous comprendrez bien qu'il y a une marche de la taille du grand canyon entre se faire peur au cinéma devant un film qui fout la trouille et se goinfrer frénétiquement d'images violentes réelles  pour satisfaire une curiosité bancale et légèrement malodorante.)

Par exemple, je trouve que Se7en est un très grand film non pas sur le mal et sa place dans notre société (même si en fait si, aussi.)  mais sur l'apathie et cette non réaction sordide de la population face aux actes les plus fous. Ne pas aider la victime d'une agression histoire de ne pas être victime à son tour, mais se délecter de chaque détail du fait divers en suivant les informations une fois rentré chez soi.

Et pourtant, ce que je connais de la violence au quotidien n'a rien à voir avec un malade mental qui exécute ses victimes selon les 7 pêchés capitaux, mais se résume à des trajets en RER avec trop de monde dedans, des coups de klaxons trop forts, un vol d'Ipod, un vol de carte bleue et une frayeur dans le hall d'immeuble de ma soeur. Et j'en suis bien heureux.

Le vrai problème est que certains  manquent de repères pour appréhender ce genre d'images.
De règles toutes bêtes qui nous permettent aisément, à vous (du moins je l'espère) et moi de faire la part des choses entre Le Silence des Agneaux (fabuleux film, je vous le conseille chaudement.) et le film de vacances du dépeceur de Montréal.
Recul qui me permet, ô joie absolue, d'appréhender toute la portée politique du Zombie de Romero et de pleurer comme une fillette devant Le Géant de Fer ou Love Actually et qui ne me donnera pas envie de trucider mes voisins pour voir comment ça fait (je vous rassure, voisins, je suis doux comme un agneau, même si je regarde des films d'horreur -et des comédies romantiques-)

Une éducation que familles et société ont abandonnée, se repassant ad vitam la patate chaude, s'offusquant lorsque l'actualité s'y prête avant de retomber mollement dans la paresse intellectuelle qui empêche les vraies questions d'être posées et les vrais débats d'apparaître sur la table.

Naïvement, je crois encore que les médias qui nous entourent (presse écrite, télévision, internet, radio) peuvent nous aider à nous élever au quotidien.

Le fait qu'une vidéo où un jeune homme se fait découper en morceaux puisse être facilement accessible tend aujourd'hui  à me faire croire le contraire.

Ce n'est pas la violence qui me fait peur.
C'est la fascination que certaines personnes peuvent avoir pour la violence qui m'effraie le plus.


Quel film on passait à la télévision la veille de la St Barthélémy?




















Et juste pour dire comme ça, en passant, que plus de 50.000 personnes ont été tuées, décapitées, démembrées et j'en passe et des pires par les cartels de drogue mexicains depuis 2006.
Et je pense qu'on en a moins parlé depuis 2006 que du tueur canadien en une semaine...







(à noter que Mr Marilyn Manson, sous ses airs de maniaco-dépressif à tendances sacrificateur de chat est un homme qui a eu l'intelligence de montrer aux Etats-Unis, pays des armes à feux et de la chaise électrique, le visage de ce qu'elle était vraiment...)

mercredi 27 juillet 2011

Paranoid / Black Sabbath



Je sais, on va encore me dire que j'en fais trop, que non, la roue voilée de mon destin bancal (la pute) ne m'en veut pas personnellement, mais quand même.

Une gare RER en travaux?

La mienne.

Un gugusse qui s'amuse benoîtement à tirer comme une buse sur le signal d'alarme dans un wagon?

Le mien.

(je n'irai pas jusqu'à dire que ce genre de geste marque la ligne qui sépare l'humanité du primate, mais bon, l'auteur ne pouvait clairement pas être confondu avec Einstein ou Heidegger et Hannah Arendt quand il a ahané ses quelques borborygmes de conchylicultivé avant de tirer la poignée...)

Une station bloquée par la police pour cause de je ne sais pas pourquoi en rentrant du travail?

La mienne.

Un facteur qui louche?

Le Mien.

Un pied qui marche du pied droit dans les restes (peu digérés) d'un menu pedigree pal?

Le mien. Encore.

Alors on va encore dire que je suis un psychopathe paranoïaque, mais il me semble que là-haut, le grand tout qui régit la mécanique (certainement complexe, je le concède) de notre espace-temps (et qui n'existe pas bien qu'il soit cruel) m'en veut un tout petit peu.

Et hier, mon RER m'avait promis un arrêt à ma gare du boulot.
Il s'est arrêté une station après.


















Et comme je suis à la pointe de la technologie des communication malgré mes lacunes en chinois-binaire, je vous rappelle que vous pouvez rejoindre la page de lachansondujour sur facebook pour soutenir cette cause qui mérite franchement plus d'exposition médiatique (non?) en cliquant sur le j'aime là-haut à droite ou en rejoignant ce lien-là: LIEN

dimanche 22 août 2010

No one Knows / Queen Of the Stone Age



Oui, je sais, ça fait une semaine sans chanson du jour, c'est long et je m'en excuse.

Mais ma semaine a été bien épique et maintenant, c'est au son de guitares bien sauvages que j'attends enfin la fin de cet été raté (vous vous rendez comptes? un été plein d'heures supplémentaires, plein de pluie, plein de galères, tout seul à Paris, quand même, je vous jure que c'est moche.)

Mais maintenant, hop, cet été est enfin fini, et enfin, je vais songer à mes vacances, qui hors évènement cosmique imprévu et désagréable (genre un tsunami, une météorite, le retour des dinosaures ou un nouvel album de Christophe Maé, devraient arriver dans un peu plus de 72heures.)

Des vacances de mon côté, à Toul c'est cool.

Des vacances pour m'isoler, j'ai des trucs à préparer.

Des vacances pour en profiter, j'ai des amis à visiter.

Pour ces vacances, je crois que j'ai quelques idées.

Mais c'est un secret.

samedi 27 février 2010

Vagabond / Wolfmother



Comme je me prépare à jouer les baroudeurs en Hummer dans moins de deux mois dans des lieux magiques avec des gens magiques itous, il me prend soudainement des envies de liberté.

Des envies de départ, même.
Des envie de Je fous mon camp!

Il me prend en fait une envie très simple de profiter que je suis un peu complètement libre, sans attaches particulières ou insurmontable (à part deux béquilles personnelles, c'est vrai.)

Alors quitte à vagabonder dans la vie, je me dis que le mieux, c'est finalement de choisir dans quelle vie vagabonder.

Alors pour le moment c'est une idée tenace, mais elle va se transformer en projet, soyez-en sûrs.

Et en plus, je n'aurai pas peur de boîter.

J'ai une béquille qui m'accompagne.

mercredi 3 juin 2009

Rock Superstar / Cypress Hill



Alors avec mon tatouage sur la jambe et mes dents de mâcheur de canettes, je me suis dit que ayé, j'avais tout l'attirail pour devenir une vraie Superstar du rock.

Une enfance tranquille dans une petite ville toute calme? Bon, c'est pas une enfance de dealer dans une banlieue de Manchester ou de Los Angeles, mais ça ira.

Des parents extras? Bon, j'ai pas été battu mais c'est pas grave, je peut avoir la rage aussi.

Un amour de la bière? ah, on commence à se rapprocher.

Un tatouage et des dents de consommateur de crack donc? Ok ça aide.

Je suis blanc? Mouais, Kurt Cobain et Elvis étaient blancs eux aussi!

Les seuls braquages à mon actif, c'est ceux qu'on a fait sur moi? Bon, je peux être rebelle aussi, hein?

Un petit boulot de caissier pour des vieux et des bourrés à nancy? Bon, j'étais pas chauffeur de limousine pour les affranchis mais j'ai vu le grand banditisme au match de Nancy quand même (le grand banditisme à Nancy se résumant à des gens souvent saouls qui tombent par terre, c'est très dangereux...)

Bon, je crois que j'aurais encore besoin d'entrainement pour devenir une Rock Superstar.

Et bon, alors même si ils copient le style de Rage Against The Machine sur cet album (Skulls and bones) il faut avouer que les latinos du Cypress Hill gang sont bien efficaces quand il s'agit de détartrer les oreilles et d'envoyer du gras.

J'adore le son qui est au tout début et qui annonce la rythmique du morceau (et qui ira en s'accélérant au fur et à mesure), j'adore le riff de gratte bien épais et les scratchs qui ponctuent le tout.

Alors ouais, avec mes dents qui tombent et mon tatouage de rebelle sur mon mollet droit, je me dis que j'aurais pu faire partie d'un gang ou d'un groupe de rock.

Ou de rap.

(aie, j'ai mal aux dents, vivement que je me les soigne... comment ça les stars du rock n'ont pas mal?)

mercredi 8 avril 2009

Them Bones / Alice in Chains




Aaaaaaaaah du bon gros rock gras qui fait du bien.

C'est vieux, c'est péchu, c'est électrique et c'est bon.

Ca me colle une banane d'enfer dans les transports en commun, ça.
Une grosse poussée d'énergie à 200 décibels.
Du fun sonore.
Du rock de biker et buveur de bière.
Du rock gras et lourd.
Du rock qui fait plaisir.

Et en plus, c'est la chanson qui illustre une séquence de fou dans le fabuleux documentaire sur le surf "riding giants", une séquence qui se passe en californie,n sur une vague méchante qui s'appelle Mavericks.

Un truc qui fait vraiment peur.
C'est presque paranormal, comment elle a la haine cette vague.

c'est ici:



et rien que ça, ça inspire le respect.
Les mecs complètement cramés du bulbe qui surfent ce truc sont des astronautes pour moi.
Une poignée d'êtres humains qui vivent quelque chose d'exceptionnel qu'aucun d'entre nous ne vivra jamais.
La Classe...

jeudi 2 avril 2009

Wherever I May Roam / Metallica




Comme Metallica fracasse Bercy depuis hier soir (et pour ce soir encore) et que je ne peux aller me faire vriller les oreilles (vu que les places sont parties à la vitesse de la lumière), j'ai décidé de faire chier mes voisins en balançant leur live avec l'orchestre symphonique de Los Angeles à donf.

Paf.

Comme ça.

Parce que je suis rock'n roll.

Et Metallica, c'est du bon gros rock'n roll qui fait du bien.
Du gros son sans aucune subtilité qui fait bouger les cheveux.

Du bon son pour faire des sudokus ou du jardinage.
Du travail de précision, quoi.

Imaginez votre dentiste avec cette musique en fond sonore.
Ou un sculpteur.
Classe, non?

Comment ça, non?

Bon, le Hard Rock a encore beaucoup de stéréotypes souvent vrais à se trainer (regardez Spinal Tap, le film le plus drôle de l'univers, c'est un ordre!!) mais bordel à dutre, c'est quand même vachement bon.

Finis les complexes, on peut avoir des bracelets à clous, des T-Shirts avec des rongeurs et/ou reptiles ensanglantés dessus et travailler dans une banque ou à la bibliothèque municipale.

On peut avoir des colliers de nouilles noires et ne pas passer pour un adolescent prépubère et hésitant de la mue vocale, adepte des morts violentes et de la dégustation de sang de hachis parmentier les soirs de pleine lune (mais on passe quand même plus facilement pour un con)

Oui, je le dis haut et fort, grâce aux vieux de la vieille que sont Metallica et AC/DC, écouter du hard, c'est hype!

Hop, laissez-vous pousser les cheveux et secouez-les, vous serez rock'n roll!!

mercredi 1 avril 2009

Zero / The Smashing Pumpkins




Aaaaaaaaaaah des bonnes grosses guitares qui rayent le parquet, une batterie bien grasse et bien lourde et une voix bien bizarre.

Un mélange détonant, évidemment, qui réveille les matins, effraie les vieux, colle la colique aux bébés et fait tourner le lait.

C'est bon.
Point.

Alors, oui, ils sont bizarres avec leur look bobo-goth, oui ils collent la frousse avec leur clip perturbé/flippant et oui ils fichent le bourdon avec leurs paroles crypto-mystico-romantico-porno.

Mais on s'en fout, parce que dans les oreilles ils opèrent en mode Kärcher sur le tartre qui encrasse vos esgourdes.

Ils retournent la tête, font bouger les cheveux et affolent les jambes.

Un bon pogo, ça faisait longtemps....

jeudi 12 février 2009

Mein Herz Brennt / Rammstein



Votre petite soeur jetait ses culottes de coton rose à la tête du chanteur de Tokyo Hotel?
Mais maintenant, elle est émoustillée par Christophe Maé? (quelle buse votre petite soeur quand même) et se plonge dans la lecture de l'intégrale de Twilight?
Et ces 250 cours d'allemand ultra-accéléré qu'il reste à écluser, qu'est-ce que vous pouvez en faire?
Recyclez-les, pardi!
Puisque la petite soeur n'y va plus, allez-y mais avec un bon son bien vénère dans les oreilles.

Un son industriel monstrueux (qui a servi dans sa version instrumentale d'illustration sonore à la bande-annonce de Hellboy 2, le meilleur film de l'été dernier et le meilleur film de super-héros de l'année...)

Une frappe de dingue, des décibels au taquet, un chant porté par un orgue zarbi et une gratte hyper grasse, pas de subtilité ici.

On débite à la tronçonneuse.
On déchire des tanks, on défonce les buildings, on arrache tout sur le passage.

Ah avec un son comme ça, je pars au combat, moi, mes amis.
Avec un son comme ça, je deviens pote avec Schumacher. Le gardien de but qui a détruit Battiston, l'homme le plus haïs de France, pas le pilote de F1.
Avec un son comme ça, je mange de la choucroute tous les jours et je rôte des bières.
Avec un son comme ça, j'ose la culotte de peau.

Allez les enfants, c'est parti pour le premier cours:
Hallo Peter!
Hallo Uwe!
Vohin guest du?
Ich gehe auf dem Spielplatz.

Und mein herz brennt!!!!

dimanche 18 janvier 2009

Rock of Ages / Def Leppard




Yeah du bon vieux Rock'n Roll qui fait bouger la tête!
Du Hairy Metal (Métal Chevelu) comme dirait mon Hairy Ami Youen.

Alors oui, le clip est complètement moche et nos joyeux lurons sont bien ringards et feraient passer le Spinal Tap pour les Rolling Stones ou U2, mais moi, j'aime la musique qui pète!
Et là, ben faut dire que ça pète (un peu)
Il y a de la grosse batterie qui tape, des gros riffs de guitare qui grattent, des gros yeaheaaaas au milieu, tout pour me plaire.
le batteur, d'ailleurs, perdra un bras suit à un accident d'hélicoptère et continuera de jouer grâce à un système de pédales qui lui permettait de frapper sur ses caisses. (ça aussi c'est très spinal tapesque)

On trouve ici réunis tous les plaisirs coupables qui font que l'on aime le bon gros rock FM des années 80 (et 90 aussi): une symbolique ultra-lourde (ouhouuuu des druides, c'est mystique), un maquillage délirant (ouhouuuu les rebèèèèlles), des gonzesses habillées avec un rouleau de sopalin (ouhouuuuu c'est érotique!!) et des éclairs dans le studio, des bandanas, des effets spéciaux reniés par meliès lui-même, un montage raté, des débardeurs léopard, des faux arbres, des druides (oui, encore), des chaines (ouhouuuu, c'est grrrrr)une grosse épée en carton, des rires sadiques et j'en passe.

Oui, c'est drôle.
C'est drôle mais j'aime ces rockeurs qui se prennent définitivement trop au sérieux...
Mais enfin Moyen, mais qu'est-ce que tu veux?
I WANT ROCK'N ROLL!!!!! (à dire très fort en hurlant)

mardi 9 décembre 2008

Master of Puppets / Metallica (live S&M)



Il arrive forcément un moment dans la vie d'un garçon où il va se mettre à aimer des artistes qui mangent des rongeurs et/ou reptiles et chantent des chansons sur des gens qui mangent des salades de rongeurs et/ou reptiles.
Le garçon en question se met donc à adopter une attitude singulière qui le pousse à marmonner des textes sataniques à l'envers, à renouveler totalement sa garde-robe pour n'en garder qu'une substantifique moëlle: t-shirts noirs (agrémentés de pentagrammes, de crânes en feu ou de gros rongeurs et/ou reptiles) jeans noirs, blouson noir, cheveux noirs, chaussures à clous noires, broie du noir et bracelets noirs.

Bon j'admet une caricature forcée, mais ne me dites pas que vous n'avez pas de cousin(e) gothique ou de voisin qui se laisse pousser les cheveux sous les bras en même temps que sur la tête dans le but d'attenuer l'odeur de sa collection de rongeurs et/ou reptiles.

Metallica, ben c'est un peu ça (mais en moins odorant).
C'est une percussion sauvage, des solos guitares flamboyant (le fameux solo metallica) et des yeaaaaah heaaaaah toutes les deux strophes.
C'est sauvage, ces types mangent des rongeurs et/ou reptiles, c'est sûr!!
Et comme ils sont super mégalos (normal pour des stars du rock) ben ils se font carrément accompagner par un orchestre symphonique et là, c'est la défenestration assurée mes amis.
Une grosse bertha sonore.

Moi je ne me suis jamais habillé comme pour aller frapper à la porte du seigneur des ténèbres de Legend, je n'ai jamais cherché à manger de rongeurs et/ou reptiles, mais bordel, j'aime Metallica.

Voilà une bonne grosse patate dans les oreilles et ça colle la santé pour la journée. Pour la semaine, même.

Alors hop, on fait tous les cornes avec la main (je rappelle qu'il faut fermer le poing et tendre le petit doigt et l'index, voila, vous êtes rock'n roll!!) et on hurle Yeaaaaaah Heeeaaaaaahh!!!