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vendredi 24 avril 2009

New York Fever...

Comme je m'absente une semaine au pays de l'oncle Sam pour visiter la Big Apple avec mes amis de ma vie, je vous laisse avec plein de belles chansons qui parlent de L'Amérique et de New York!!

parce que l'Amérique, malgré tout les défauts possibles et imaginables, ben ça me fera toujours rêver.

parce que quoi qu'on en dise, ils auront toujours des supers films et de la musique géniale...



This Land is Your land / Bruce Springsteen



Love it or leave it Alone / Alicia Keys



No Sleep 'till Brooklyn / Beastie Boys



Lagos Vs New York / Keziah Jones



Spanish Harlem / Ben E. King

dimanche 16 novembre 2008

Beautiful Emilie / Keziah Kones (Miss-E's Birthday) + guitar hero bonus track

J'ai eu moi-même une période où j'ai voulu apprendre la guitare.
Mais comme j'ais l'oreille musicale d'un tracto-pelle et même pas le talent d'une crotte de nez de Prince, j'ai vite arrêté pour le bien de tout le monde.

Il y a un gars qui a bien fait de s'y mettre à la guitare, et pour le bien de tout le monde également.
Un mec dont on sent qu'il fait de la gratte pour montrer aux gens ce qu'il est possible de faire avec cet instrument (un peu comme Hendrix mais en moins hystérique)
Un mec avec un tel talent naturel qu'on oublie carrément qu'il est guitariste.

Keziah Jones.

Voilà un type qui se balade torse nu sur scène avec son chapeau et qui manipule sa guitare comme personne ("Mouais, ce type, il fait de la guitare pour serrer des gonzesses" me dis-je à ce moment-là)
Et finalement on entend comme il joue et tout le monde ferme sa gueule.
Un groove atomique.
Influencé par la funk de son altesse George Clinton (mais en vachement moins syncopée) et l'Afrobeat de Fela et Femi Kuti, Keziah jones joue de la quitare comme d'une percussion.
Il frappe son instrument de ses doigts secs, il éclate ses cordes, fait rebondir la guitare sur son corps noueux comme un tambourin, rebalance des coups sur le manche, bref, sa guitare devient une boîte à rythme.

Il joue comme personne, reprend le slapping, propre aux lourdes basses de la funk, à son compte pour jouer des accords blues.

Et il en ressort ce son sec, qui claque comme une liane ou un fouet.
Un son clair de batterie lâché avec un instrument à cordes.
Un son qui imprime l'oreille pour longtemps.
Un son unique.

Ce type est une révolution. Moins spectaculaire que des types comme Santana ou Satriani mais tellement original et tellement particulier qu'il marquera l'histoire de la Guitare.
Et aujourd'hui est un jour particulier puisque c'est l'anniversaire de ma pote Emilie.
Voici donc une des plus belles chansons de Keziah Jones en spécial dédicace pour elle.











BONUS TRACK!!!!!!!
En ce jour de fête et tant qu'on en est à parler de Guitariste, on applaudit tous cousin Vincent, le guitar-héros de The League, en Live à Lyon sur une scène de ouf'.
Une présence scénique de dingue (cousin Vincent nous gratifie d'un magnifique Moonwalk , pose le pied sur le retour son quand il part dans un solo nucléaire, bref, tout le groupe s'éclate à jouer sur une scène aussi grande que les pubs dans lesquels ils ont l'habitude de jouer à Paname.
En plus j'aime vraiment bien cette chanson avec son riff de dingue au début et sa rythmique sauvage.
Un vrai titre Killer de dancefloor. Un tube.


KILL THE OLD!!!!!!!!!!!