J'admets avoir été effroyablement médisant et pessimiste la dernière fois en vous annonçant le début d'une ère glacière à rentrer un ours blanc dans sa tanière.
Aujourd'hui, pointant mon nez enrhumé dehors, j'ai sorti les lunettes de soleil planqué la veste et j'ai savouré avec bonheur la chaleur du soleil sur mes joues.
Un temps qui me rappelait une saison qui n'existe que dans le nord de l'Amérique.
Là-bas, on l'appelle l'été indien mais c'est tout simplement le mien.
Les gens ressemblaient à des aquarelles de Marie Laurencin et moi à une vague qui n'atteindra jamais la dune, comme il y a un an, un siècle, une éternité...
Excusez cet intermède poétique, mais quand l'inspiration vient il ne faut pas l'arrêter...
Je savourais donc la chaleur du soleil sur mes joues et je me disait que décidément, les rues étaient bien trop calmes.
Oui, il y a le vacarme des voitures qui passent et des
Je suis rentré chez moi et j'ai décidé de montrer à mes voisins à quel point il faisait beau avec cette chanson jouée très fort par ma fenêtre.
(c'est pas non plus comme si je les avais agressés avec un live de Metallica...)
Je regardais par la fenêtre
Aujourd'hui était un jour simple.
Mais un de ces jours qui vous font croire que la vie vaut la peine d'être vécue.
1 commentaire:
C'est beau comme du Delerme... :'(
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