mercredi 14 décembre 2011

Shut the Door / House of Pain



Il y a quelques jours, j'ai vécu une journée "spéciale portes"

Non, je n'aime pas les portes! (rappelez-vous, dans les épisodes précédents.)

J'ai pris comme d'habitude mon métro Porte de Clignancourt.

Je suis resté à la porte du RER (parce qu'évidemment un incident mécanique à faire passer 2012 pour un pêt de dinosaure végétarien avait drastiquement diminué le nombre de rames en service, augmentant drastiquement itou les chances de décès par suffocation à l'intérieur dudit RER.)

J'ai discuté avec un mec qui faisait du portes à portes avec des peintures de malades quelconques et il m'expliquait que pour lui, une bonne journée c'était vendre 2 toiles. ça lui faisait 40 euros dans la poche.

Là, je commençais à trouver l'accumulation de détails relatifs à la porte à deux doigts du bizarre.
Surtout que les portes, je les préfère sculptées à Byzance, ( ou Constantinople ou Istanbul, choisissez le nom que vous préférez et qui sonne le plus flamboyant à vos oreilles.) ou Rome qu'automatiques sur des RER.

 Mais toute la journée, j'ai loué l'espèce de bâton de miko en plastique noir qui est accroché à mes clés, car il ouvre ma porte souplement, avec un bruit de sas de navette spatiale, sans que j'ai à taper sur un digicode qui me donne l'impression de rentrer dans une banque. Ou à la CIA.

Et du coup, je n'ai pas de chiffres à savoir, j'ai mon bâton en plastique noir qui m'ouvre les portes.

Pendant la journée, j'ai encore ouvert des portes, fermé des portes, fait des portés et plains les déportés.

Et je suis rentré chez moi, mon bâton de miko qui ouvre les portes à la main.

Mais arrivé devant mon entrée,mon ustensile n'a jamais marché.

Il fallait utiliser le digicode.


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