samedi 7 novembre 2009

Hills and Valleys / Buju Banton



Comme ici, à Toul c'est cool, il pleut comme vache qui pisse et qu'il fait des températures pas loin du polaire, hop, je me réchauffe les oreilles avec du son qui vient du soleil.

Une chanson qui non seulement colle une patate de feu, mais qui, par un deuxième effet magique, file un mental d'acier (surtout le matin).

Un peu comme une eau de javel à emmerdes.

Hop je me laisse pousser les cheveux gras, je me dis que rien n'est infranchissable, et je fredonne ce doux refrain...






















Et n'oubliez pas que les bureaux de vote de Moyen(man) et Moyen(bad) ferment demain alors n'oubliez pas de voter...

3 commentaires:

Drine² a dit…

c'est malin j'ai envie de partir en vacances... :-)

Etienne a dit…

Ah ce morceau me rappelle des très bons souvenirs.

Car mon passé musical avant le "choc" beatles c'était le reggae.
J'étais jeune et con, je criais Rastafari, Haile Selassie I !!! Mes idoles était Bob Marley, Peter Tosh, Gladiators et Steel Pulse chez les vieux. Et dans les nouveaux j'étais fan de Buju Banton (et Tonton David mais c'était encore bon). J'avais cet album Unchained Spirit (il me semble)... Et j'adorais ce morceau.
Puis un ami m'a fait vraiment écouter les Beatles, et je ne m'en suis toujours pas remis. Je me suis tourné vers la pop, le rock et la soul. Du reggae, j'en ai quasiment plus écouter : à part un True Democraty, un Legalize It ou un Exodus de temps ... Quelque part j'avais un peu honte de ce que j'écoutais (surtout de ce que représente politiquement le rastafarisme).
Mais tu me remets ce morceau et je m'apercois que finalement j'avais pas des gouts de chiottes. Bon je vais rechercher cet album et me le remettre.

Merci

moyenman a dit…

J'ai aussi eu ma petite période Reggae, avec Max Romeo, Yabby You, Lee Perry and the Upsetters ou encore Burning Spear dans les oreilles.

Mais le gros désavantage du Reggae est de rapidement tourner en rond.

ça devient très vite très monotone, très relou et très soporifique.

Mais j'avoue que de temps en temps, dans mon Ipod ou ma chaine Hi-Fi, je refais des détours par la Jamaique.