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samedi 30 août 2025

I'm not Crazy / Don Carlos


On raconte que la folie, c'est faire plusieurs fois la même erreur en espérant à chaque fois un résultat différent. L'obstination idiote. 
La persévérance absurde.

C'est joliment dit, mais moi je pense que la folie c'est plus simple.
Par exemple, c’est se lever le matin et regarder le monde sans trembler.
Ni pleurer.

La folie, c'est s'habituer?

(Ou alors, c’est plus subtil et subjectif, comme vouloir faire le jeu de la barbichette avec un tigre adulte, sauter du viaduc de Millau en parachute au petit matin, être François Bayrou ou manger des endives au jambon de son plein grès.)

Mais quand chaque matin, je me lève (et je me bouscule, je ne me réveille pas, comme d’habitude) et je que vais au travail, espérant épanouissement, nourriture d’esprit et calembours sophistiqués à la machine à café, ne serais-je pas moi-même zinzin, finalement ?

Ou, à minima, naïf ?

(Le taquin dira que je suis lâche d’avoir stagné si longtemps et il aura raison, mais je dirai aussi que bon, je voulais voir des défis (là où il n’y a finalement que le morne quotidien de journées sans passion))

Alors voilà, j’annonce mon départ. 
Parce que je peux regarder le monde en tremblant, ça ne me fait pas peur, mais je ne peux plus me regarder sans penser à tout ce que j ai raté. 

J’annonce mon départ, c’est fou, mais moins que de rester. 

Et alors je suis serein. Parce que cette décision est la plus sensée depuis bien des années dans une vie qui finissais par ne plus en avoir vraiment, de sens. 

Je suis pas la personne la plus imprévisible du monde mais j’aime l’aventure et le mystère et les chaussettes aux couleurs audacieuses. Alors ce grand inconnu, devant, est finalement moins flippant que ce petit quotidien que je connais trop bien. 


Et si finalement, la folie, ce n’était pas croire qu’on va rater mais craindre qu’on peut y arriver ?














La folie, c’est faire plusieurs fois la même erreur en espérant à chaque fois un résultat différent. 
C'est joliment dire qu'on regarde chaque jour les femmes Afghanes et les enfants de Gaza et qu'on ne fait rien.

jeudi 9 mai 2013

Ainsi soit-il / Taïro

Veuillez installer Flash Player pour lire la vidéo



Aujourd'hui, je m'enfuis.
Je disparais pour quelques heures.
Alors ne cherchez pas à me joindre, ne me courez pas après, laissez-moi partir, n'ayez pas peur, je reviens.



Je me suis levé avant le soleil, j'ai mis mes plus beaux habits et j'ai même pris des lunettes de soleil car j'ai décidé que c'était l'été, je fonce dans un métro qui me mettra dans un train et je regarde au loin.

Pas un regard derrière, pas une hésitation, je ne veux plus voir de barrières.

Aujourd'hui je serai loin parce que j'en avais besoin.

Il est bon de parfois péter les plombs, balancer deux secondes le quotidien, oublier les galères et la misère, revivre le mystère et, sur un coup de tête, aller vers de nouveaux endroits en prenant un chemin de fer.

Et, enfin, vivre des moments un peu simples, un peu sympas, un peu bizarres parfois et qui vous font passer le goût de l'éphémère.

Pardonnez-moi pour cette fuite, mais il y avait longtemps que je n'avais plus vécu des moments comme ça...



jeudi 28 octobre 2010

Babylon Too Rough / Gregory Isaacs



Il y a des fois.

Il y a des rares fois, mais il y a des fois quand même, où les choses paraissent plus dures, les heures plus longues, les épaules plus lourdes, les trajets plus fatigants, les matins plus tôts, les soirs plus tards et les sourires moins grands, et les sourires moins francs.

Il y a des fois où l'on se bat mais forcément, on ne gagne pas.

Il y aura encore des fois comme ça.

Et dans ces fois là, même si ce grand tout insondable, enquiquineur et farceur n'existe pas, dans ces fois là, je me tourne alors vers ma foi.

La foi qui m'a fait franchir des montagnes de doutes et demander une augmentation, la foi qui m'a emmené à New-York et dans les déserts de Californie.

Je ne suis pas un grand croyant, mais je suis un grand confiant.

Il y a des fois où il faut dire à sa vie qu'on ne la subit pas.

Et cette chanson est là pour ça.





Gregory Isaacs est décédé cette semaine.
Il avait 59 ans.

Jah blesses him...

mercredi 23 juin 2010

Boogie In My Bones / Laurel Aitkin




Franchement les enfants, avec un temps comme ça, j'ai plus envie de m'attarder à twister quelque part en sirotant des cocktails très frais à base de rhum plutôt que d'aller au boulot un jour de grève.

Il est bon d'accueillir le retour du soleil avec des senteurs d'îles et d'alizés et pas forcément la Compagnie Créole ou Philippe Lavil.

(c'est vrai que parfois, ça vaut le coup de gratter dans ses vieilles compiles de reggae que l'on écoute plus des masses par peur de tomber de fatigue à 15h de l'après-midi.)

On sent quand les vacances arrivent, il y a une sorte de fébrilité dans l'air, les gens seraient presque relaxés dans le métro vu que dans quelques jours ils iront se marcher dessus dans une station balnéaire.

le Tour de France va revenir, on va découvrir un tube de l'été certainement grotesque, des jeunes vont passer leur BAFA, des intermittents vont rattraper leurs heures en navigant entre tous les festivals qui vont refleurir et moi, je vais attendre le retour des étoiles filantes.

Cet été, mes vacances, elles vont se passer à Paris.

Mais c'est pas grave, je vais penser à la Californie en écoutant des chansons qui emmènent sur des îles mystérieuses et en allant twister dans quelques bars.

jeudi 15 avril 2010

Storm Is Coming Our Way / Lyricson


Découvrez la playlist Lyricson avec Lyricson

Résumé des épisodes précédents.

Avec mes amis, nous sommes prêts à partir la semaine prochaine en Californie, pour traverser des déserts, sillonner des routes, marcher sur des étoiles et caresser des baleines...

Seulement, vous le savez maintenant, mon karma est légèrement bancal (pour ne pas dire moisi) et mon destin est décidément farceur.

Mais il y a eu un signe des cieux.

Il était écrit qu'il allait falloir descendre de l'Olympe pour oser barrer notre route, ben c'est exactement ce qu'il s'est passé.

Bon, pas directement sur le Mont Olympe, mais pas loin, en Islande.

Un volcan crétin comme ils en ont des centaines a décidé d'interrompre sottement sa sieste et de montrer à tout le monte qu'il pète le feu (blague du mois.) et son nuage de cendres qui culmine à 6km de hauteur (comme un pêt de Caro-Magnonnne, donc) nous retombe sur le coin de la truffe et cloue tous les avion au sol y compris à Paris.

Oui, la cendre, c'est fourbe, ça fait tomber les avions.

Le Volcan crétin s'appelle Eyjafjallajokull, et franchement je me mord les lèvres pour ne rien dire, et on le voit du ciel là:


(Oui, vraiment, vu du ciel, ça ressemble un peu à un pêt de Caro-Magnonne.)

Voici donc venue l'heure des cataclysmes.

Mon karma merdique à mis tous ce qu'il avait dans le ventre pour me pourrir mes vacances, et il n'y va pas de main-morte.
Il s'énerve, il s'emporte, et tout de suite, les gros mots.
L'Apocalypse.
La fin des temps, qu'il me promet.

Rien que ça.

Voici donc venue l'heure d'Armaggedon.

Je n'ai pas peur du feu et du vent.
Je n'ai pas peur de la cendre qui recouvre les champs.

Je me suis toujours promis de ne pas m'écarter de mon chemin, même si je rencontrais la tempête, car je crois en mon destin.

(oui, bon, je crois à la roue voilée qui me sert de destin...)

Et mon destin, pour le moment, c'est le voyage d'une vie avec mes meilleurs amis.

Alors je ne crains pas le soufre qui nous guette.

C'est pas un ersatz de plaie d'Egypte qui va me gâcher les vacances, non mais.

Alors cher grand tout cosmique, équilibre universel, tes nuages à la con qui font tomber les avions, tu te les met Eyjafjallajökull.

Samedi prochain, j'atterris à L.A.

mercredi 27 janvier 2010

Walls of Jerusalem / Vivian Jackson (Yabby You)



Après mon coup de flippe de lundi soir, il me fallait un bon son pour redescendre en pression.

Et même si je n'écoute plus énormément de reggae (ça m'endort assez vite en fait...) il reste quelques titres que j'adore et qui continuent de me squatter l'IPod.

Comme celui-là par exemple.

C'est mystique et épique, la voix est belle, il y a un bon petit groove et surtout, ça relaxe et ça donne la foi.

Et pendant 3mn40, j'oublie toutes les merdes qui me collent à mon quotidien, j'arrête ma paranoïa, je dis adieu au karma moisi et je me laisse transporter loin de Babylone-la-haine.

Je retrouve un peu la paix et la sérénité.

Je retrouve la lumière et je m'éloigne de l'ombre.

Peace, les enfants...

samedi 7 novembre 2009

Hills and Valleys / Buju Banton



Comme ici, à Toul c'est cool, il pleut comme vache qui pisse et qu'il fait des températures pas loin du polaire, hop, je me réchauffe les oreilles avec du son qui vient du soleil.

Une chanson qui non seulement colle une patate de feu, mais qui, par un deuxième effet magique, file un mental d'acier (surtout le matin).

Un peu comme une eau de javel à emmerdes.

Hop je me laisse pousser les cheveux gras, je me dis que rien n'est infranchissable, et je fredonne ce doux refrain...






















Et n'oubliez pas que les bureaux de vote de Moyen(man) et Moyen(bad) ferment demain alors n'oubliez pas de voter...

mardi 18 août 2009

Spécial Anniversaire à Jo mon Ami !! Redemption Song / Bob marley




Hier c'était l'anniversaire de mon ami Jo, mais je le fête aujourd'hui.

Alors mon pote Jo, puisque tu aime Bob Marley, la chanson du jour est pour toi.
Spéciale dédicace comme vous dites, vous les jeunes!

Bon, c'est de la musique de jeune drogué joueur de tam-tam, intermittent du spectacle et hippie mais c'est la chanson la moins relou de Bob quand même.

Et Jonathan, ben parfois je le chambre, mais c'est surtout parce que je le kiffe ce mec.
Il est marrant, il est zen (comme tous les drogués de son espèce) et c'est un des garçon les plus gentil du monde.
Il a des aberrations capillaires sur la tête, mais on lui pardonne.
Il se ferait passer à tabac par une mouche tellement il est gentil.
Et aujourd'hui, je lui souhaite un très bon anniversaire du haut de ses 26 ans de jeune trou du dutre.

Jo, je t'aime ma poule!
Alors mon cher, ouvre tes fenètres en grand, pousse le volume à fond (jusque 11), ce son est pour toi.

A Song of Freedom....

lundi 3 août 2009

Bird In Hand / Lee "Scratch" Perry & The Upsetters




Oui, bon, c'est du Reggae, mais c'est beau.

Le chant est superbe, quasi biblique, et me colle des frissons à chaque fois.
(je crois que c'est tiré d'un chant religieux d'Inde mais je suis pas sûr.)

Lee Perry est un fou furieux, mais quand il produit des choses comme ça, je veux bien pardonner les tonnes de fientes qu'il a fait dans sa carrière.

Bon, je trouve la partie dub un peu trop longue mais le reste est tellement léger et envoûtant que ça fait (presque) équilibre. (un dub est une partie instrumentale d'une chanson, généralement la mélodie de base, sur laquelle on a boosté les basses à fond et réduit toutes les autres pistes, excepté les percussions, pour transformer la chanson en marteau-piqueur.)

Et ça me rappelle que mon pote Xavier, qui était fan de l'album "Return of the Super Ape" d'où est tiré cette chanson avait raison: "Return of the Super Ape" est meilleur que "Super Ape".
(ce qui occasionnait souvent de féroces débats dans l'appart' à Guillaume et son chat de garde Socrate, des affrontements musicaux à coups de vinyls, rhétorique d'étudiants passionés et mauvaise foi totale. Je faisais partie des pro "Super Ape" à l'époque. Ce n'est que bien plus tard que je me suis aperçu de mon erreur...)

Et c'est con, je peux plus lui dire qu'il avait raison.

Là où tu es Xavier, j'espère que tu as compris que tu avais raison.
Et attends-moi, j'aurais plein de choses à te faire écouter.

Tu me manques, tu sais.

jeudi 21 mai 2009

Keep Sailing / Sena (Refractory)

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Alors le mer, c'est bien joli, ça rafraichit et ça attire les bikinis, mais faut pas oublier non plus que la mer, c'est des tempêtes, des ouragans, des méduses et des algues qui puent.

Alors un petit son reggae/ragga pour se rappeler que des tempêtes et des algues qui puent, on risque d'en rencontrer pas mal d'ici la mise en bière, mine de rien. (et franchement, j'espère que la bière dans laquelle je serais mis, ce sera une pinte...)

Et c'est pas forcément une raison pour avoir peur.

Moi, personnellement, je me dis que même si je rencontre la tempête, je ne m'écarte pas de mon chemin car je crois en mon destin (un destin qui risque de souvent refouler du slip, c'est vrai, mais bon, c'est le mien et je fais avec et pis c'est tout!)

J'aurais peut-être pas le job de mes rêves, un chat roux sur mes genoux, un bateau, des skis, des platines, une haie autour de mon jardin, un picasso dans mon salon, une rousse, une fille en fait, une île déserte ou un autographe de Spielberg.

Parce que c'est vrai, c'est souvent trop difficile, injuste et éreintant.
Tant d'effort pour des queues de cerise, ça déprime.

Heureusement, tout n'est pas perdu puisqu'il y a la musique.
Sweet Music...

mercredi 4 mars 2009

Gangsters / The Specials



Un peu de Ska Cool pour la bonne humeur.
Les Specials sortent du même label que Madness mais sont moins connus.
Ils se lancent eux aussi dans le ska festif et le reggae joyeux (un peu comme les Clash mais en beaucoup moins énervé)

Voila donc une chanson avec une rythmique pas trop vénère pour bien réveiller les gens le matin.

Un transfert de bonne humeur (quand même qu'est-ce qu'ils sont forts ces anglais!)

Alors entre un London Calling et deux beatles, faites un petit détour du côté des Ska-men anglais, il y a plein de bonnnes choses à prendre.

mercredi 14 janvier 2009

Interlude pour calmer les gens vénères Pressure Drop / Toots and the Maytals



Un petit rocksteady que j'affectionne particulièrement de ce cher Toots and the Maytals.

Parfait pour se lever.
parfait pour se laver.
Parfait pour se diriger vers le métro.
Parfait pour affronter le RER B
Parfait pour faire passer la journée...

jeudi 8 janvier 2009

Forever Shall Praize / Chukki Starr & Mas Que nada / Jorge Ben Jor & La Tortura / Shakira

Avant de passer à la chanson du jour du jour, un petit additif à la chanson d'hier: cette reprise-là est pas mal non plus...

sinon, je suis pas le seul à me réchauffer les pieds et les oreilles avec des sons du soleil.
Candide Thovex, le génie du ski freestyle fait de même sur ses vidéos (et au passage, on admire le style de ce mec plusieurs fois vainqueur aux X-Games, les JO des sports extremes. Ceux qui redoutent de se peter la jambe en faisant le chasse-neige sont priés de ne pas regarder...)




Bon, on passe aux choses (plus) sérieuses avec du son d'Amérique du Sud!!

D'abord un chouette classique da brazil, composé par Jorge Ben Jor. (et non par Sergio Mendes et encore moins par les Black Eyed Peas)
Du son qui donnerait presque envie de faire du foot sur la plage (et ceux qui pensent encore que le brésil est la meilleure nation de football peuvent regarder ceci) ou de siroter des margaritas à Pigalle...
Une chanson mille fois entendue pendant une certaine coupe du monde de 1998 (et de 2006 également) époque bénie où Dieu, dans sa grande miséricorde, flottait au-dessus du gazon tendre, la balle entre les pieds, afin de faire rêver la planète entière (et faire chier 11 joueurs pendant 90 minutes)

Une chanson qui met de bonne humeur le matin finalement et qui fait oublier qu'il faut pisser sur les serrures des bagnoles pour pouvoir les ouvrir...



Et on enchaine avec du gros son caliente qui remue du popotin.
Alors Shakira elle est seulement là pour bouger des fesses et c'est tout ce qu'on lui demande.
Un son qui met en joie après une loooooongue journée de travail.
Une chanson débile mais que j'ai entendu à donf' sous la verrière du grand palais en aout 2007 à 2heures du matin
si, si, le Grand Palais était transformé pendant 15 jours en boîte salsa la nuit à l'occasion des représentations des ballets cubain.
Et cette chanson à fond, sous la verrière du Grand Palais (avec ses trentes mètres de plafond) et 2000 personnes qui bougeaient sur le dancefloor, ben quelque part, ça émeut.
C'est donc en souvenir de cette soirée incroyable, un moment surnaturel, paranormal au milieu de l'été parisien que je fredonne de temps en temps Shakira quand il fait froid...



(et c'est aussi en spécial dédicace à coach. oui, toi coach... Alejandro Sanz, calor?)

mardi 6 janvier 2009

Three Little Birds / Bob Marley & Satta Massa Gana /The Abyssinians

Continuons notre voyage vers les pays ensoleillés pendant la vague de froid et hop, petite halte en Jamaique, évidemment avec ce double son: Bob Marley d'une part et Les Abyssinians d'autre part




C'est une des chansons que je préfère de Bob Marley.
En fait je suis de moins en moins fan de marley mais je dois reconnaitre que certaines de ses chansons (dont celle-ci) sont quand même vachement sympas (redemtion song, war, 400 years par exemple)

Mais je voulais un truc un peu plus frais et surtout moins politique du grand rasta pour réchauffer les oreilles et changer un petit peu l'atmosphère maussade qui nous pourrit la tête.
Alors hop, un petit son du réveil à mettre à fond quand on fait les tartines...

Parce que comme le dit si bien Mr Bob dans sa chanson, every little thing, is gonna be all right...

Quoi, 2009 va puer du cul?
mais non, every little thing, is gonna be allright!
Quoi, il fait froid à geler les pierres?
On s'en fout, every little thing, is gonna be allright!
Quoi, vous travaillez plus pour rien,
Pas grave, every little thing, is gonna be allright!
Quoi, votre chéri(e) vous a jeté pour partir avec un top modèle blindé de thunes?
Quoi, votre patron refuse votre augmentation et aimerais d'ailleurs que vous arriviez à l'heure au boulot, parce que maintenant ça va bien hein?
Quoi, cette place de rêve qui vous était réservée est finalement attribuée à un gland parce que vous aviez une personnalité qui ne correspondait pas à l'image de l'entreprise?
Pas grave!... Bon en fait si, vous pouvez leur faire la peau à tous!




Et maintenant, pour le thé qui réchauffe de 17h, hop les mystiques abyssinians nous balancent un bon petit groove bien positif aussi qui fait chaud au coeur et aux oreilles.
Parce que l'on peut parler d'autre chose que de ganja quand on fait du reggae (bon, on échappe rarement à l'aspect illuminé malheureusement...)
Et puis, les abyssinians nous montrent que le reggae, c'est surtout des cuivres (et encore, écoutez moi ce clavier magique qui vous transporte jusque dans babylone la grande...)
Et puis parce que moi je crois qu'un jour, je ne vivrais que dans la lumière et que j'aurais chassé l'ombre pour de bon...