Avant de passer à la chanson du jour, petit rappel aux quelques hommes des cavernes qui n'ouvrent pas les journaux:
Ce week-end, un débile mental (oui, j'ose, je n'ai pas peur des mots, je crois que le malheureux n'a plus toute sa tête) un débile mental, disais-je donc, émoustillé par la présence du TONTON de sa fille dans la salle et voulant affiner sa réputation de roi des emmerdeurs (et accessoirement de casse-couille qui refoule du goulot, pardonnez ma vulgarité mais comme dirait la bourdelle, ça soulage!!)
Ce week-end, donc cette dernière des racailles de Faurisson a eu son moment de gloire sur la scène d'un zénith remplit d'abrutis congénitaux (dont le fameux tonton, donc) hurlant et applaudissant à tout rompre pour saluer son arrivée.
Stop.
Je rappelle pour ceux du fond qui est Faurisson (des fois que vraiment vous n'ayez que des journaux vosgiens)
Faurisson, "professeur" à l'université de Lyon (je fais court, le terme "imposteur" lui conviendrait mieux) est connu pour ses écrits/discours vomis et humant bon de sales parfums de négationnisme et de révisionnisme (un jean-marie bigard alphabétisé, en gros)
Pour cet handicapé notoire les camps de la mort n'ont pas forcément existé (tout est dans la nuance, dire que ça n'a pas existé, c'est violent, insinuer le doute, c'est morbide...)
Et donc qui est le magnifique débile total qui lui donne une place d'expression?
Ce bon Dieudonné!
Pote avec Le Pen (je crois que Dieudonné n'a plus de miroir et que Le Pen est devenu trop borgne pour voir qu'il est noir, mais chut, faut pas le dire, ça va être marrant quand ils vont s'en rendre compte...) au point que ce dernier est parrain de sa dernière fille, Dieudonné tombe dans les limbes du ridicule et balance un pavé dans une mare de merde.
Faut voir ces bouffons du zénith morts de rire devant un gugusse déguisé en déporté apporter le prix de "l'infréquentabilité" à faurisson.
j'oubliais, la shoah c'est tordant.
Mieux, ça n'a jamais existé donc on peut bien se marrer.
alors désolé Dieudonné, je vais pas tomber dans le piège facile de l'indignation théâtrale et solennelle, je vais moi aussi me marrer un bon coup.
Il existe un tas de chanson magnifique (et parfois chiantes) qui traitent de la fraternité des peuples, de la tolérance et de la lutte contre toute forme de racisme.
Ben moi, je préfère combattre en me marrant.
Me marrer en me moquant des nazis, par exemple (parce que oui, le Nazi est facilement sujet à la moquerie ou à la mort violente, Indiana Jones vous le prouvera)
Alors hop, on se marre en chevauchant une banane en caoutchouc, ce n'est pas très fin mais on ne regrette pas sa soirée!
( et je regrette le bon vieux temps de ces show sexy-comiques bavarois...)
Bernadette, nous partons!!
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