dimanche 8 février 2009

House of the Rising Sun / Eric Burdon



Un standard Blues qui a connu des centaines de versions différentes (Bob Dylan, Nina Simone, Woody Guthrie entre autres...)et qui raconte les déboires d'une petite frappe qui écrit à sa mère du fond de sa cellule.

La chanson bien déprimante comme tout bon standard de Blues en fait.
Un son qui sent bon les états du sud et des paroles tirées de l'univers de la middle-class américaine.

Cette version, de Eric Burdon, est une de mes préférées avec son orgue qui se déchaine et donne un aspect quasi-biblique à la chanson et sa guitare électrique qui dynamite le tout.

Mais surtout c'est cette version-là qui illustre le final monstrueux de Casino (un des nombreux films parfaits de Martin Scorsese).
Un vrai grand moment de pur cinéma où l'image et le son sont tellement raccords et tellement justes qu'on reste le souffle coupé jusqu'au générique de fin.




2 commentaires:

Anonyme a dit…

Ils ont tout volé à Johnny... ;D

J

moyenman a dit…

Oui, les salauds...
Johnny a tout apporté à la musique, du Blues à la Techno, du Rock au Funk, du Folk au Rap, Johnny était là

Merci Johnny!!