Chaque jour une chanson que je partage avec vous amis lecteurs. Une chanson en fonction de mon humeur ou de l'actualité du jour. Une chanson pour danser, pleurer ou tout péter. Une chanson pour aider à affronter la journée.
mardi 12 mai 2009
mOBSCENE / Marylin Manson
Bon, après mes digressions franco-déprimo-patéthique, je décide de reprendre (un peu) de poil de la bête.
Alors je choisis une bête bien vénère, qui coupe, qui charcute, explose, tronçonne et horrifie.
A ouais, faut pas m'emmerder.
Sinon, je bave, je crache et je mord (et je dors au-dessus des couvertures).
Planquez-vous les relous, les cons, les obtus, les fachos, les artistes, les joueurs de Djembe, les porteurs de dreads, les amateur de tuning, les scénaristes de TF1, les patrons, le Président, les fans de Christophe Maé, les rockeurs du dimanche. Et ceux du Lundi aussi.
Cachez-vous les banquiers, les dentistes, les dragueurs de supermarché, mes patrons, les chauffeurs de RER, les écouteurs de arènebi, les animateurs de NRJ. Et de Fun Radio, gares à vos miches collectionneurs de voitures, vendeurs de roses dans les bars, agents du CSA, policiers, et autres empêcheurs de tourner carré.
Je ne vous aime pas et je vous le montre...
Pourquoi cette violence me direz-vous?
Parce que je bosse dans un milieu quand même relativement moisis où tout le monde se tutoie et se parle comme si ils se reniflaient le dutre mutuellement.
Mais c'est le milieu le plus hostile que j'ai jamais vu.
Un vrai monde de trous du fions, avec des coups bas, des insultes, des stratégies mesquines, du mépris et surtout une biatch-attitude (qui s'applique aussi bien aux garçons qu'aux filles!) d'une obscénité monstrueuse.
Surtout quand les budgets dégringoles.
La valeur du travail disparait avec le respect des personnes.
Mais ce n'est pas grave, en France, nous sommes des auteurs, des artistes.
On fait de l'art.
Les autres ne comprennent pas, étriqué dans leur reflexion de grands argentiers.
Capitalistes!
Social-traitres!
De l'art qui ne m'a pas trop fait rêver jusqu'à présent.
Alors que les mutations d'un Terminator liquide dans du métal en fusion me font penser à du Dali (oui, je sais...).
Et que les deux heures avant ce plan m'ont propulsé dans la stratosphère...
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2 commentaires:
Musique efficace, texte enragé, et Terminator 2. Rien à dire, c'est parfait, je kiffe !
Miss-E
Ah ben moi, quand je suis vénère ça s'entend.
Et pas un jour sans penser à T2, telle est ma devise!
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